Les projets

L’inox est couramment utilisé en façade, couverture et décoration intérieure. Découvrez certaines de nos réalisations !

Logements et résidence d’accueil

Un projet social

La construction de ce bâtiment est en fait un regroupement de diverses activitées, à commencer par 57 appartements sociaux, mais aussi un centre d’hébergement et de réinsertion sociale, des commerces et des équipement publics ; et tout cela en plein coeur de la vieille ville de Nantes. Le jardin au centre du bâtiment illustre une autre conception de la densité du centre-ville à la fois généreuse et paysagée.

Maîtrise totale de son logement

Le choix de la façade retenu pour ce projet était basé sur le respect des diverses contraintes de sécurité incendie, des objectifs environnementaux, thermiques, apports de lumière et protection solaire, pour que chacun puisse régler le confort thermique et domestique de son logement.

En premier lieu, les bâtiments sont isolés par l’extérieur et revêtus d’un bardage en panneau d’acier inoxydable, ce qui permet la pérennité des façades.

Un aspect métallique

Le langage architectural contemporain est bien visible : tous les murs extérieurs sont revêtus d’acier inoxydable d’aspect recuit brillant (UGINOX Bright). Les volets sont traités esthétiquement de la même façon et en ligne avec le châssis vitré des pièces et les salons non protégés par les balcons. Ces dispositifs assurent la performance thermique du bâtiment et permettent d’accrocher la lumière et de contrôler les vues, comme une succession de voilages.

Fiche technique

Nantes, France
Philippe Dubus
©Sergio Grazia

Infos

304/1.4301
Uginox Bright

Rotterdam Central

Rotterdam peut s’enorgueillir d’une nouvelle icône. Rotterdam Central est une gare d’allure internationale. Sa connexion au réseau européen de trains à grande vitesse et au réseau de RER. RandstadRail lui font augurer une forte augmentation du nombre de voyageurs d’ici 2025 – de 110.000 actuellement à 320.000 par jour. Le hall de gare est réalisé en acier inoxydable brillant et forme un emblème sculptural sur l’axe culturel de Rotterdam. Le hall de gare et la couverture des voies font tous deux appel à une construction porteuse en acier. Pour faire du hall de gare un espace d’accueil clair et royal pour les voyageurs, on a utilisé les plus grandes travées possible sans colonnes. Le hall transparent a une toiture pliée qui, tel un origami, semble naître de la partie fermée de la couverture des voies. Le toit et les auvents présentent différentes inclinaisons et sont finis sur la face extérieure avec un placage serti en acier inoxydable.

La structure porteuse principale du bâtiment est réalisée en acier. A part les deux points d’appui principaux sur le côté sud, le hall semble ne pas être soutenu. Cet effet a été obtenu d’une part en intégrant les points d’appui au nord dans la construction des bureaux situés sur les flancs ouest et est du hall de gare, d’autre part en utilisant la poutre de la couverture des voies au dessus du quai 2 comme point d’appui invisible pour le hall de gare. Ainsi, on obtient un effet visuel maximal. La structure porteuse principale de la couverture des voies consiste en un système de fermes longitudinales en acier non étançonnées au milieu des six quais et sous les deux façades principales. Les colonnes d’acier ont la forme d’un Y majuscule, pour rappeler la forme des anciens auvents protégeant les quais.

Fiche technique

Rotterdam, Pays-Bas
Team CS
©Jannes Linders

Infos

316L/1.4404
Uginox Mat

Paneum – Wunderkammer des Brotes

La ‘Wunderkammer des Brotes’, enveloppée d’acier inoxydable

Depuis octobre 2017, un bâtiment de 20 mètres de haut trône à Asten, en Haute-Autriche. Ses admirateurs s’interrogent. De quoi s’agit-il ? Est-ce un nuage qui flotte dans le ciel ? Ou peut- être un OVNI ? Pourrait-il symboliser un pâton pétri ?

Dans le Paneum, tout tourne autour du pain

C’est cette idée qui se rapproche le plus de la finalité de cet immeuble futuriste, bien que l’architecte se défende d’avoir cherché une telle ressemblance avec une miche de pain. En réalité, ce Paneum héberge la « Wunderkammer des Brotes », autrement dit : le Cabinet des curiosités du Pain. Le maître d’ouvrage de cette construction exceptionnelle est Peter Augendopler, fondateur de Backaldrin, société autrichienne d’améliorants de panification. Pour ce projet, il est parvenu à s’allier les services de l’architecte renommé Wolf D. Prix, constructeur du BMW-Welt à Munich et fondateur du bureau d’architecture Coop Himmelb(l)au.

Une arche de Noé ultramoderne

Le maître d’ouvrage et l’architecte sont rapidement tombés d’accord et le résultat est impressionnant – cette construction tout à fait extraordinaire sur le plan architectural, est en effet unique en son genre. Non seulement le design exceptionnel, mais surtout l’exécution dans les règles de l’art par la firme Lummel de Karlstadt, font de la Wunderkammer des Brotes un plaisir pour les yeux de chaque visiteur. Georg Lummel, chef de l’entreprise, a rassemblé autour de lui une équipe qui a fabriqué et traité avec précision 3

L‘architecte associe la forme du Paneum à un bateau-nuage, selon ses termes à lui. Il évoque pour lui l‘arche de Noé. Cette idée lui était venue dès sa première rencontre avec le maître d’ouvrage, Peter Augendopler. L’engagement intense et passionné de celui-ci lui a immédiatement rappelé l‘arche de Noé, appelée à sauver de précieux objets en les transportant pour ainsi dire dans un autre monde.

Le bâtiment du socle a une forme parallélépipédique et constitue la base du Paneum. Il abrite le centre d‘information pour les clients, un espace événementiel pouvant accueillir près de 120 personnes, les locaux techniques et les installations sanitaires. La Wunderkammer des Brotes (l’exposition proprement dite), riche d‘objets collectionnés au cours des 30 dernières années pour retracer les près de 10 000 ans de l’histoire du pain, accueille le visiteur dans le bateau-nuage. Celui-ci est accessible par un escalier en colimaçon qui mène vers les salles d‘exposition réparties sur les deux étages. Une grande lucarne éclaire cet escalier qui mène le visiteur dans un univers semblant irréel, où il se trouve enveloppé d’une chaude lumière artificielle, dans un espace en forme de cercle irrégulier. Ici, les différentes salles d‘exposition semblent s‘inter-pénétrer. L’absence de fenêtres et de connexions avec l’extérieur plonge inévitablement le regard du visiteur dans ce que les architectes appellent la « Wunderkammer des Brotes ».

Cette deuxième section de la construction incarne par sa forme un net contraste, exprimant une modernité prononcée et abritant un cœur en bois. En effet, le visiteur pourra s‘émerveiller de la structure porteuse, qui n‘est ni en métal, ni en béton, mais qui prend la forme d’une enveloppe en bois autoportante. C’est l’utilisation de bois lamellé croisé et courbé qui a permis de donner naissance à cette forme inhabituelle, sublimée par les bardeaux en acier inoxydable (UGINOX 316 (1.4404)) scintillant sous la lumière du soleil dans un mouvement incessant.

Fiche technique

Asten, Autriche
Coop Himmelb(l)au
©Markus Pillhofer

Infos

316L/1.4404
Uginox Mat

Musée des Confluences

Le musée des Confluences doit son intitulé à trois bonnes raisons. Outre son implantation géographique à la confluence du Rhône et de la Saône, tout au bout de la presqu’île lyonnaise, il est l’héritier de plusieurs institutions muséales agrégées au fil du temps et son projet scientifique organise la convergence des savoirs et des disciplines pour esquisser un grand récit des origines de la vie à l’organisation des sociétés humaines, jusque dans leurs représentations de l’au-delà. L’ampleur du champ exploré tient à l’histoire des collections qui mêlent paléontologie, zoologie, minéralogie, ethnologie, préhistoire, etc, au gré des legs et des initiatives. La première remonte au cabinet de curiosités des frères Gaspard de Liergues et Balthasar de Monconys constitué au 17e siècle puis enrichi par Jérôme Pestalozzi, médecin à l’Hôtel-Dieu, au siècle suivant. Ce fonds est à l’origine du premier musée d’histoire naturelle ouvert au public en 1777 par la Ville de Lyon et ensuite développé avec les apports des colonies et des missions tout au long du 19e siècle. Vient s’y greffer l’héritage d’Emile Guimet dont le musée des religions, créé en 1879 et déménagé à Paris dix ans plus tard, laisse en déshérence le bâtiment du boulevard des Belges. Le maire Edouard Herriot y installe le Muséum et ses collections en 1914, nommant à sa tête l’industriel lyonnais qui apporte les 3 000 objets restés en sa possession. C’est ce Musée Guimet d’histoire naturelle, fermé en 2007, qui se redéploie et s’agrandit une nouvelle fois sous l’intitulé du musée des Confluences, avec une construction de circonstance.

Registre organique

Inscrit dans l’histoire et porté par le Conseil général du Rhône qui n’a jamais baissé les bras devant les difficultés rencontrées, le nouveau musée se veut ancré dans son territoire. Mêlant sciences et sociétés, il a pour ambition de faire partager ses richesses (plus de 2 millions d’objets avec les acquisitions faites dans le cadre du projet) et de réconcilier le grand public avec les sciences. Pour y parvenir, il entend être aussi vivant que ses sujets d’études et impliqué dans la vie locale. Non sans malice, les concepteurs du bâtiment lui ont donné une forme ostensiblement organique, à l’image de ces animaux préhistoriques dont les immenses fossiles trônent dans l’exposition permanente. Monté sur pattes et tourné vers l’aval, il ressemble à une énorme bête broutant la berge à la rencontre des eaux. S’il revendique le registre organique pour glorifier le vivant, l’architecte Wolf Prix – qui incarne désormais seul l’agence Coop Himmelb(l)au – préfère, quant à lui, décliner les concepts de “cristal” et de “nuage” qui renvoient à la transparence des connaissances et à l’opacité de l’inconnu. Leur assemblage compose le corps de ce mastodonte qui se détache du socle pour offrir une terrasse abritée sur la confluence. Au “cristal” correspond le hall d’entrée implanté sous une verrière de 2 000 m² et au “nuage” les salles d’exposition qui se développent sur 11 000 m² de  part et d’autre d’une galerie sur deux niveaux sous éclairage zénithal, avec l’administration dans les combles et une cafétéria au sommet. Le socle sur lequel reposent ces deux parties abrite deux auditoriums, des salles d’accueil et de médiation, les réserves du musée et des locaux techniques sur près de 9 000 m². Enfin, le jardin public également dessiné par l’agence autrichienne organise les abords en fonction du bâtiment sur les 2,5 hectares de la pointe.

Squelettes d’acier

La construction s’accorde aux images employées. Le “cristal” est une étonnante verrière dont l’ossature métallique aux courbes déliées s’élève jusqu’à 40 mètres de hauteur en prenant appui sur une sorte d’entonnoir central appelé “puits de gravité”. Une rampe s’enroule autour de cette sculpture de verre et d’acier pour conduire jusqu’à l’entrée du “nuage” qui constitue le corps du musée. Trois piles principales et douze poteaux en soulèvent la masse imposante, reprenant les 6 600 tonnes d’une charpente en acier qui compte quelque 650 000 éléments dont des ensembles mécanosoudés de 25 tonnes et des solives de 27 mètres de portée. Ce gigantesque squelette dont la réalisation relève du génie civil est totalement occulté par les doublages intérieurs et par l’enveloppe du bâtiment qui en épouse les contours tourmentés. Quant au socle en béton établi dans la continuité du terrain, il repose sur une forêt de micropieux profondément forés en cette terre alluviale.

Carapace d’inox ou nuage

A la transparence du hall cristallin succède l’opacité du musée qui renferme en son sein les salles d’exposition conçues comme autant de “boîtes noires” scénographiques et modulables. Leur agrégation s’effectue sous une enveloppe qui se veut aussi indéterminée et mouvementée qu’un cumulonimbus afin de fondre le bâtiment dans le site de la confluence. L’habillage de cette masse en suspension aux multiples facettes se devait d’être lumineuse et changeante selon les humeurs du ciel. Le choix d’un acier inoxydable a permis de réaliser le “nuage” désiré. Son aspect de surface satiné et homogène a été obtenu par microbillage à partir d’une tôle UGINOX Mat de nuance 316L. Cette finition contribue à dissoudre la masse du musée dans l’atmosphère aquatique du site fluvial. Découpées dans des tôles de 3 millimètres d’épaisseur pour une tenue irréprochable, quelque 17 000 plaques différentes, apparentées sous 37 formats, couvrent les 20 000 m2 du développé de l’enveloppe, y compris la sous-face du bâtiment et les retours à l’intérieur du hall et des circulations, pour un total d’environ 600 tonnes. Ce parement associé à la forme définie confère un aspect furtif au bâtiment tantôt affirmé sous sa carapace, tantôt dilué dans la lumière, à la fois mastodonte et nuage.

Le Lyonnais, terre de constrastes

Le musée des Confluences fait suite à d’autres réalisations du quartier de la Confluence précédemment remarquées pour leur vêture en inox, à savoir l’immeuble de logements Lyon Island conçu par l’agence Fuksas et l’immeuble de bureaux de Manuelle Gautrand inséré dans le Monolithe. Pour ces deux bâtiments, leurs architectes ont choisi de l’UGINOX Bright, un produit brillant qui reflète l’environnement et change d’aspect au gré des saisons et de la météo. De l’autre côté du Rhône, sur Gerland, l’Ecole normale supérieure de Lyon réalisée par Henri et Bruno Gaudin habille ses courbes d’une toiture en UGINOX Top d’aspect mat qui n’a pas pris une ride depuis quinze ans. Un peu plus loin dans l’espace et le temps, le musée gallo-romain de Saint-Romain-en-Gal érigé par l’agence Chaix & Morel trône depuis vingt ans sur les bords du Rhône sous des cassettes en Uginox Touch.

Fiche technique

Lyon, France
Coop Himmelb(l)au
©Duccio Malagamba

Infos

316L/1.4404
Uginox Mat
3 mm

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