Les projets

L’inox est couramment utilisé en façade, couverture et décoration intérieure. Découvrez certaines de nos réalisations !

Palais de Justice

Un Palais de Justice re-coiffé.

Après la défaite française de 1870, -où l’Alsace et la Lorraine furent cédées à l’Empire allemand-, Strasbourg en paya un lourd tribut. N’ayant pas connu d’extension depuis le XVè siècle, cette ville historique se devait d’évoluer. L’adoption en 1878 d’un plan d’aménagement conçu par l’architecte municipal Jean Geoffroy Conrath prévoyait l’essor de la cité vers le nord, au-delà des fortifications du XVIIè siècle. La volonté du nouveau pouvoir impérial de fonder la Neustadt, ou « nouvelle ville », répondait au besoin d’asseoir son autorité au sein d’une capitale exemplaire dotée de bâtiments officiels et de logements. Se déployant au-delà du canal de l’Ill, devenu le canal des Faux-Remparts, la Neustadt a fait l’objet de constructions marquantes, comme la gare (1883), le palais de l’université (1884) ou le palais impérial (1888), fédérant un style éclectique commun. Trop longtemps associée à une période historique douloureuse, la Neustadt est aujourd’hui le symbole d’une réconciliation franco-allemande indéfectible sous-tendue par une forte culture européenne. La restructuration en 2007 de la gare de Strasbourg par l’agence d’architecture de la SNCF Arep, qui se love sous une coque de verre spectaculaire, a provoqué une prise de conscience de la part de la ville qui s’est alors attelée au devenir des édifices de la Neustadt. Après la bibliothèque universitaire réhabilitée en 2014 par l’architecte Nicolas Michelin, c’est au tour du palais de justice, -édifié en 1898 par les architectes Johan-Karl Ott et Skjold Neckelmann-, de connaître une seconde vie. Cet ouvrage exceptionnel de 14 920 m² a fait l’objet, de 2014 à 2016, d’une rénovation en profondeur menée par le cabinet espagnol Garcès-de Seta-Bonet Architectes. Inscrit dans un tissu urbain dense, l’édifice massif présente quatre façades en grès gris affichant des éléments d’architecture classique (frontons, bas-reliefs, colonnes…). Or transformer un bâtiment historique du XIXè siècle en un palais de justice du XXIème siècle nécessite de répondre aux besoins fonctionnels d’un équipement public moderne, en y intégrant notamment une remise aux normes de sécurité en vigueur inhérentes à un ERP (établissement recevant du public). Bien pensée dès le départ, l’organisation fonctionnelle interne a été préservée et adaptée aux enjeux actuels, avec des flux de circulations revus en fonction de l’évolution des usages et une extension créée. Destiné à 225 magistrats et fonctionnaires, ce projet pharaonique a regroupé trois chantiers délicats qui se sont déroulés au cœur de la capitale alsacienne.

Un toit-origami en inox  
L’un d’eux a porté sur la restauration minutieuse des éléments inscrits à l’inventaire supplémentaire des Monuments historiques (1992), à savoir les façades et les verrières, le vestibule d’entrée et la salle des pas perdus pourvue de ses galeries et escaliers, et la salle d’audience avec ses décors. Alors qu’une réhabilitation lourde de 12 300 m² de planchers a été engagée ainsi que la construction d’une partie neuve de 6 024 m² dans la cour centrale de l’édifice : ce qui a permis d’accroître les surfaces sans augmenter l’emprise au sol. Si la partie greffée accueille les salles d’audience, celle d’origine abrite les bureaux. Ouvrant sur la salle des pas perdus, un nouveau patio végétalisé a été enchâssé dans l’édifice pour y faire pénétrer la lumière naturelle et servir d’espace de circulation pour le public, lequel est distinct des voies d’accès des personnels et des détenus. Après une analyse fine de l’état existant, les architectes ont choisi de supprimer l’extension de 1978 et de la remplacer par la construction de quatre niveaux partiels implantés en retrait de la façade existante pour éviter son parasitage. La mise en œuvre d’une charpente légère en acier à poteaux et planchers collaborants a permis de libérer de grands espaces, rapidement et avec peu de nuisances. Bien que l’édifice ait été agrandi de près de 60% par rapport à sa surface d’origine, les concepteurs ont veillé à ce que l’extension soit le moins visible de la rue. Celle-ci se coiffe d’un toit aérodynamique en acier inoxydable qui, se décollant du parallélépipède en pierre, l’ennoblit et lui confère une modernité certaine. Tel un origami savant, cette toiture, sculptée par quatre pans pliés surmontés de verrières, est ceinte d’une couronne en inox à géométrie variable. Ce dispositif complexe mis en place sur le pourtour du toit comporte une charpente métallique en fermes trapézoïdales recevant un platelage bois, lui-même revêtu de bandes d’inox Uginox Top 304 de chez Aperam. Découpées sur-mesure dans des bobines de 500 mm de large et 0,5 mm d’épaisseur, les lés visibles de 430 mm de large ont été posés de façon traditionnelle avec des joints debout. D’aspect mat, définitif et durable, ce même matériau a été mis en place sous la forme d’un bardage de 2, 35 m de hauteur qui habille la zone supérieure de trois des quatre façades du bâtiment et assure ainsi une continuité avec la couverture. Au final, les interventions réfléchies des concepteurs ont contribué à magnifier l’architecture originelle, tout en y apportant de nombreuses touches contemporaines  tissant un lien immuable entre plusieurs époques de construction. 

Fiche technique

Strasbourg, France
Cabinet Garcès-de Seta-Bonet Architectes (mandataire) et SVC/Serra-Vives-Cartagena architectes
©Adrià Goula

Infos

304/1.4301
Uginox Top
0,5

Tour de Recuit RB08 – Aperam Gueugnon

Les tours en brique ou en béton qui ponctuent encore le paysage des usines ont la plupart du temps pour fonction d’évacuer les fumées. Sur le site de Gueugnon, où l’on produit et on lamine des tôles d’acier inoxydable, la tour dont le parallélépipède émerge majestueusement au-dessus des toits a une toute autre fonction. Elle fait en réalité partie intégrante du process de laminage. Dans la tour haute de 68 mètres est en effet installé un four vertical, maintenu entre 1000 et 1200 °C, avec une atmosphère contenant 90% d’hydrogène. La tôle en cours de laminage continu y subit un traitement thermique après laminage qui lui assure ses qualités finales de brillance. La verticalité du four permet aussi d’accumuler les bandes d’acier qui peuvent faire plusieurs aller-retour dans la tour, et d’éviter ainsi le déploiement d’un four trop long. Le bardage en recuit brillant d’inox 304 (Uginox Bright) ainsi obtenu est celui là même dont est tapissée la structure de la tour. Les tôles ont été profilées chez Arval en profil Trapéza. La tour possède une ossature métallique de 660 tonnes qui supporte le four. Les tronçons déjà habillés en ont été successivement empilés les uns sur les autres à l’aide d’une grue. À la fois outil fonctionnel et manifeste pour les produits de l’usine, cette tour est ainsi devenue le nouvel emblème de cet important site industriel.

Fiche technique

Gueugnon, France

Infos

304 (1.4301)
Uginox Bright

Groupe scolaire Miriam Makéba

Equipement scolaire

Alliance subtile de l’inox et de la terre crue 

Inauguré à l’été 2019, le groupe scolaire Miriam-Makeba rend hommage à cette chanteuse de jazz sud-africaine hors-pair (1932-2008) qui s’est singularisée pour sa lutte ardente contre l’apartheid, l’obligeant à s’exiler durant une trentaine d’années. Pour son talent reconnu, elle obtint même un titre de citoyenne honoraire dans dix pays, dont la France. Réalisé par l’atelier TOA architectes associés, cet équipement scolaire, implanté à Nanterre, accueille 392 enfants et 46 adultes. Il se compose de quinze classes -dont six de maternelle et neuf d’élémentaire- assorties d’un centre de loisirs autonome, de deux salles de restauration et d’un logement de fonction. Inscrit dans un tissu urbain dense, le complexe est cerné par les cités des Provinces françaises et Marcelin Berthelot, des opérations conséquentes de 2 500 logements sociaux qui, bâties de 1956 à 1958, sont peuplées de tours et de barres, destinées à l’origine à des familles d’ouvriers, puis à celles issues de l’immigration. Ces deux cités se sont retrouvées par la suite enserrées entre des voies ferrées, un boulevard circulaire et le talus du métro (RER) mis en place après 1970, des éléments d’infrastructure qui ont généré des ruptures prégnantes dans le tissu urbain. Dans ce contexte de verticalité, la préfecture des Hauts-de-Seine domine le site. Edifiée en 1972 par l’architecte André Wogensky, cet édifice public monumental, repérable de loin dans le paysage avec sa tour de 113 m de hauteur, jouxte presque l’école et instaure, de fait, une rupture d’échelle. Un défi que les architectes ont relevé en prenant le parti de déployer l’école à l’horizontal sur 4 050 m² (surface de plancher) et de créer ainsi un contrepoint marquant. 

Des matériaux recyclables

Doté d’un étage, l’édifice en forme de U s’insère de façon savante au sein du quartier en pleine mutation de l’Université Paris-Nanterre. En termes d’organisation des fonctions, il prend appui sur un sous-sol logeant un parking et des locaux techniques. Si le rez-de-chaussée s’articule autour de deux cours distinctes, et regroupe les salles de maternelle et le centre de loisirs, les espaces de l’élémentaire se développent à l’étage. Au nord, l’entrée commune des deux écoles conduit à un hall d’accueil et à l’administration ainsi qu’à deux réfectoires, à la cuisine desservie par une cour de service et aux salles polyvalentes. Pour la construction de ce nouvel équipement éducatif, la mairie de  Nanterre souhaitait insuffler au projet les derniers préceptes de développement durable ayant cours et développer une démarche de haute qualité environnementale (HQE), désormais incontournable. Cette commune est en effet réputée pour sa détermination, depuis longtemps, à engager des innovations dans les domaines de l’architecture et de l’environnement, et fut l’une des premières villes françaises à se pourvoir d’un Plan Climat Energie, il y a une dizaine d’années. Aussi, l’école a été imaginée comme un bâtiment à énergie positive (BEPOS) produisant plus d’énergie qu’il n’en consomme, avec des choix technologiques guidés par une approche bioclimatique globale, sous-tendue par une réduction notoire des consommations d’énergie. La municipalité ayant incité l’équipe de conception à employer des matériaux alternatifs, autres que le bois, les architectes de TOA ont opté pour des matériaux recyclables, comme la terre crue (ou pisé) pour bâtir les murs intérieurs et de ceinturage de l’ouvrage. 

Une parure d’inox scintillante et pérenne

Le dispositif écologique préconisé consiste en un panel de solutions techniques adéquates : pénétration abondante de lumière naturelle dans les locaux, production de chaleur (chauffage et eau chaude sanitaire) garantie par une chaufferie bois à granulés, toit-terrasse végétalisé et revêtu de panneaux photovoltaïques pourvoyeurs d’électricité, système de mur trombe installé dans les salles de classe pour la ventilation naturelle des espaces, en mi-saison. Selon l’adage des architectes énonçant que « Le complexe scolaire est ancré au sol par son fondement et suspendu au ciel par l’immatérialité de sa vêture en inox. », l’autre matériau omniprésent dans le projet est incontestablement la vêture en inox qui habille les façades de l’ouvrage. Durable et inaltérable, l’acier inoxydable utilisé de nuance 304, fourni par Aperam sous la forme de tôles de 0,5 mm d’épaisseur, affiche un aspect Uginox Rolled-On et une finition brillante de type poli fin. A partir de bobines déroulées, des lés verticaux ont été découpés sur-mesure, suivant le calepinage de l’architecte, avant d’être profilés et encochés en extrémité. Leur largeur varie de 400 mm sur cour et 430 mm sur rue, environ, et leur hauteur de 1 m à plus de 6 m. Posés à joint debout, les bacs inox ont été fixés, via pattes en inox, sur un support en voligeage de bois, arrimé par des équerres au mur en béton, lui-même muni d’un isolant (extérieur). Qu’il soit de toute hauteur ou surmontant un mur de pisé, ce bardage tramé fait figure de parure scintillante et aérienne qui allège et enrichit l’édifice. 

L’association de l’inox et de la terre crue participe de la volonté des concepteurs de relier la modernité à la tradition, en répondant à des enjeux écologiques actuels et futurs.  

Fiche technique

Nanterre, France
Cabinet Toa architectes associés

Infos

304/1.4301
Uginox Rolled-on
0,5 mm

Hôtel Fouquet’s Barrière Paris

Brasserie et hôtel – Un miroir monumental, côté cour du Fouquet’s  

En plein Triangle d’or à Paris 8è, l’hôtel 5* Fouquet’s Barrière Paris est étroitement lié à l’histoire mouvementée de la brasserie Fouquet’s. En 1899, le limonadier Louis Fouquet rachetait un estaminet pour cochers revenant de Longchamp qu’il baptisa The Criterion-Fouquet’s Bar, une anglicisation alors à la mode, à l’image du célèbre bistrot Maxim’s (rue Royale). Occupant un immeuble haussmannien datant de 1863, ce café de l’avenue des Champs-Elysées fut apprécié des aviateurs, puis des pilotes de chasse durant la Première guerre mondiale. En 1913, le restaurateur Léopold Mourier succéda à Louis Fouquet et transforma ce bistro en une brasserie de luxe attirant le Tout-Paris, avant de devenir dans les années 1930 un lieu prisé du monde du cinéma. Dans les années 1950, les cinéastes de la Nouvelle Vague, tels que François Truffaut et Jean-Luc Godard, en firent leur lieu de rendez-vous régulier. Racheté en 1976 par le restaurateur Maurice Casanova, cet endroit mythique accueillit dès lors et ce jusqu’à aujourd’hui le déjeuner des nommés aux Césars et le dîner de gala suivant la cérémonie de remise des prix. Menacé en 1988 de se transformer en galerie marchande, le Fouquet’s fut sauvé, grâce à une levée de boucliers de personnalités du spectacle et à l’intervention du ministre de la Culture Jack Lang qui fit inscrire en 1990 son décor intérieur à l’inventaire des Monuments historiques. Repris en 1998 par le groupe hôtelier Barrière, le Fouquet’s a été complété en 2006 par un hôtel éponyme conçu par l’architecte Edouard François et décoré par Jacques Garcia. De 2017 à 2019, l’agence parisienne Vous Êtes Ici Architectes / VEI a été chargée de restaurer à l’identique cet ouvrage remarquable.

Remise aux normes en vigueur

Elle a ainsi relooké les 81 chambres existantes et restructuré les espaces internes de l’hôtel, en procédant à une remise aux normes de sécurité en vigueur, relative à un ERP (établissement recevant du public). Confort oblige, des éléments réglementaires indispensables ont été ajoutés, tels que l’aménagement de rampes pour les personnes à mobilité réduite (PMR), la création d’un ascenseur et de réseaux de gaines, et la rénovation des fenêtres assurant une isolation phonique et acoustique performante. VEI a également agrandi l’hôtel de 19 chambres, en créant des suites au dessus de la brasserie sur les trois étages hauts (plus comble) qui bénéficient de vues inouïes sur l’Arc de Triomphe, le premier étage logeant des salons de réception. A noter que deux des sept bâtiments en place, participant à cette extension et situés aux 97 et 99 avenue des Champs-Elysées, font l’objet d’une « protection ville de Paris » (PVP), dans le cadre du Plan local d’urbanisme (PLU). Un statut patrimonial qui permet de préserver et valoriser les éléments caractéristiques architecturaux et structurels des édifices, comme la pierre de taille, les moulures, etc. Sur le plan de l’organisation des espaces, l’hôtel est desservi par une seule entrée (avenue George V) et un hall qui fédère et distribue ses différentes ailes. Le complexe de 100 chambres, qui compte cinq espaces de restauration, dont la brasserie, trois bars et un café agrémenté d’un jardin privé intérieur, abrite également une piscine couverte, un sauna, un bain à remous et une salle de fitness pour enfants. Par ailleurs, VEI a développé un projet créatif se rapportant à deux interventions ciblées, dont l’une a trait à l’angle de l’immeuble remanié, où l’œil de bœuf en faîtage a été agrandi.

Un écran ludique en inox poli miroir                                   

L’autre intervention concerne la cour intérieure en cœur d’îlot qui, enlaidie par des gaines de ventilation,  a été mise en valeur et rendue accessible au public. L’idée des architectes a été de créer un mur renard (factice) habillant le mur pignon (nord) et reliant deux bâtiments. Cette « installation contemporaine » affiche un écran géant de 18 m de haut et 10 m de large qui agrandit la cour, capte la lumière et génère des reflets. Ce mur miroir, plan et durable, assemble 27 panneaux composites de 6 m de haut et 1,50 m de large, disposés en trois bandes, selon un calapinage pointu. Fabriqué sur-mesure, chaque module réunit deux feuilles d’inox de chez Aperam -avec une face en inox poli miroir 316 L de 1,5 mm d’épaisseur- et une âme en mousse thermoplastique. Ces tôles ont été découpées au laser et collées de chaque côté du panneau rigide. Avant la pose du miroir, l’agence Smac a scanné la cour et réalisé une modélisation fouillée en 3D pour définir les cotes des modules en inox et les répertorier. L’ossature de support est formée de profils en IPE 120 verticaux, spittés sur les anciens nez de dalles du mur mitoyen. Sur ces montants, sont boulonnées des lisses servant à agrafer les bandes de modules inox mis en œuvre bord à bord. Sachant qu’un important travail en amont a été mené par les concepteurs et les entreprises afin d’assurer une pose efficace et sans réglage in situ des composants. 

Cette collaboration enrichissante entre architectes et industriels, sous la forme du duo Vous Êtes Ici Architectes-Euro-Shelter, a reçu, pour ce projet, le premier prix 2019 de la sixième édition de Duo At Work.

Fiche technique

Paris, France
Vous Êtes Ici Architectes

Infos

316L/1.4404
Uginox Poli miroir
1,5 mm

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